jeudi 21 février 2008

Britney Spears sort à nouveau sans culotte

Ce n'est pas un scoop, mais Britney Spears a remis ça! Britney Spears sans culotte, Acte 3 (ou 4 ou 5 ...Et voilà ! Britney Spears remet ça. Elle nous a refait sa « Spearouette » (opération consistant à sortir d'une voiture les jambes écartées, en mini jupe et sans culotte). La chanteuse a une nouvelle fois exposé ses parties intimes aux objectifs des photographes, à l'occasion d'une sortie au restaurant avec son père ! A se demander si elle ne le fait pas exprès pour revenir sur le devant de la scène. En effet, depuis quelques jours, ses « copines » Paris Hilton et Lindsay Lohan font la une des tabloïds et blogs américains. Paris Hilton pour son strip-tease, et Lindsay Lohan pour avoir posé nue. La chanteuse américaine Britney Spears s'est vue une nouvelle fois refuser mardi le droit à des visites de ses enfants, dont elle a perdu la garde légale à titre provisoire en 2007, a-t-on appris de source judiciaire à Los Angeles.

Le juge Scott Gordon, qui préside au règlement des modalités du divorce de Spears et de Kevin Federline, a refusé de modifier un précédent ordre qu'il avait émis le 4 janvier, interdisant à la pop-star de voir ses deux jeunes fils en raison d'inquiétudes sur l'état psychologique de la jeune femme. Ni Spears ni Federline n'étaient présents mardi au tribunal, où leurs avocats respectifs les représentaient. Spears, 26 ans, a été placée le 1er février sous curatelle, mesure typiquement prononcée lorsqu'un tribunal estime qu'un individu majeur est incapable de prendre soin de lui-même. Le père de la chanteuse a l'autorité légale sur elle et ses biens au moins jusqu'au 10 mars. Spears n'a pas vu ses enfants, Sean Preston, 29 mois, et Jayden James, 17 mois, depuis le début de l'année. Federline, 29 ans, s'est vu confier la garde légale des deux petits garçons le 1er octobre 2007, dans l'attente d'un règlement final du divorce. Depuis sa séparation d'avec Federline à l'automne 2006, Britney Spears, qui fut de 2000 à 2005 la chanteuse la mieux payée au monde, a enchaîné les revers judiciaires, artistiques et personnels.

Biographie d'Amy Winehouse

Amy Winehouse nait en 1983 en Angleterre dans la région du Middlesex. Amy fait partie de la relève du jazz avec Joss Stone ou encore Corinne Bailey, Lina et India Arie. Née dans une famille de musiciens, elle fonde son premier groupe à l'âge de 10 ans. "Sweet'n Sour" un petit groupe de rap, r'n'b qu' Amy qualifie elle-même de"petites Salt'n'Peppa blanches et juives". A 13 ans elle a sa première guitare et a 16 ans elle signe son premier contrat avec une maison de disques. Suite à sa nomination aux Brit Awards en 2003, son premier album, "Frank", rentre dans les meilleures ventes du Royaume-Uni mais ce n'est que le 14 février 2007 qu'elle remporte le Brit Award de la meilleure chanteuse anglaise pour son second album paru en 2006, "Back to Black". Son single "Rehab" est un carton absolu et témoigne de son tempérament bien trempé. Dans ce titre très autobiographique, la jeune Amy raconte comment sa maison de disques a tenté de la faire entrer en cure de désintoxication et comment, bien sûr, elle s'y est opposée. Côté vie privée, Amy a déjà tout d'une grande dame du Blues à la Billie Holiday. Comme elle, Amy se produit parfois soule, sous l'influence de la drogue et défraye les chroniques. Bouteilles brisées, amours passionés... Amy rejouis les tabloids par sa franchise et son insolence. En vraie chanteuse jazz, elle raconte ses peines de coeur et ses addictions. "Back To Black" prend des accents soul au fil des morceaux. Elle fait même références à plusieurs reprises à des grands artistes Soul comme Ray Charles ou Donny Hathaway. Déjà adulée par les Américains qui ont craqué pour ses chansons qui rapellent le son Motown des années Supremes, il est temps que la France devienne elle aussi accro à Amy!

jeudi 14 février 2008

Biographie de Yelle

Été 2005. C’est avec ces paroles enlevées, bien senties et cuisinées à la sauce électro-pop qui remuent du cul, qu’une jeune bretonne, Yelle, décide de répliquer aux textes un brin provocateurs du crew hip-hop TTC, dont Cuizinier est un des membres. Mis à disposition sur la page Myspace de Yelle, ce qui n’aurait pu n’être qu’un gag, déclenche un tourbillon digne d’un tsunami. 2000 écoutes en deux jours à peine, des déclarations enflammées venues du monde entier, des propositions de concert arrivées de pays qu’on ne saurait même pas situer sur un planisphère, des offres malhonnêtes des majors du disque (dont Source, label qui a accompagné l’explosion frenchtouch depuis ses débuts) qui ont bien compris qu’elles tiennent là un sacré morceau de chipie, et jolie desurcroît.

Originaire des Côtes d’Armor, où elle vit toujours, fille d’un musicien réputé en Bretagne, Yelle a grandi bercée par la musique. Elle suit des cours de piano, puis de comédie, fait partie de deux groupes qui ne dépasseront jamais le stade des répétitions, mais qu’importe : le virus du micro est là. Il y a cinq ans, lors d’une soirée chamalows, elle fait la connaissance de GrandMarnier, jeune musicien et producteur, qui traîne entre son propre groupe et sa chambre d’étudiant, où il triture des beats sur son ordinateur. Un bidouilleur des machines, qui, malgré une adolescence à écouter à fond du rock, s’est tourné vers l’électronique grâce au parrainage des Beastie Boys, Pour s’amuser l’espiègle Yelle pose sa voix sur les maquettes de GrandMarnier, et le mélange entre les boucles électroniques du garçon et la voix mi-chantée, mi-rappée de la Lolita fonctionne si bien, qu’ils se retrouvent naturellement à composer de l’electro-pop, et en français SVP. Une voix en or est dans la place.

Pour son premier concert à l’automne 2006, Yelle, qui décidément n’a pas froid aux yeux, est accueillie par le Paris Paris, le fief de la branchitude parisienne, qui attend au tournant les rimes acides et les boucles extasiées de la jeune provinciale. Et, fort d’un live plus rock et rentre-dedans, c’est le succès avec un dancefloor entier qui reprend en choeur les paroles de « Je veux te voir », devenu en quelques mois un tube culte des dancefloors à Paris , Londres, New york … Désormais rodée à la scène avec ses collants fluos, la brune qui ne compte pas pour des prunes annonce l’été en beauté avec un premier album où une certaine nostalgie pour l’époque dorée de l’électro-pop frenchie (les Daho, Elli & Jacno, Alain Chamford,Taxi Girl ou Lio) est reliftée avec groove et finesse en une booty-pop mis au profit des états d’âme d’une fille parfaitement à l’aise dans son époque et au caractère bien trempé.
Ainsi « 85A » - à la mélodie très « Banana Split » – est un éloge aux petits seins (« Pamela ne m’a jamais donné confiance en moi de ce côté-là. Heureusement que Jane Birkin a beaucoup plus de classe que ça. »). « Les femmes » évoque avec malice la tentation lesbienne, pendant que « Mon meilleur ami », aux synthés sautillants, est un hymne à la gloire du godemiché (« Tu es tout petit, mon meilleur ami, je t’emmène avec moi partout où je suis. Je te parle comme à un homme doux et sensible, la seule chose qui m’agace est de changer les piles.») Sans nostalgie aucune (« Je chante en français des années 80, je n’aime pas le passé, mais c’était bien quand même » déclare-t-elle dans « Amour du Sol »), Yelle joue la carte d’une féminité décomplexée. Une féminité libérée des carcans castrateurs du féminisme des années 70, qui parle aussi bien de sexe que de jogging, des garçons qui lui tournent la tête que de ses meilleures copines. Yelle, chipie jusqu’au bout des ongles, jouant autant de son espièglerie que de ses clins d’oeils, porte un regard lucide sur le monde qui l’entoure. Jeune et jolie, trublion explosif d’une scène pop française trop formatée, bête de scène au phrasé désormais inimitable, Yelle, du côté de sa Bretagne natale, incarne à elle seule la relève idéale d’un girl power déba rrassée de son agressivité au profit d’un sens de la formule qui fait mouche à tous les coups. Mais surtout d’un second degré et d’une décomplexion salutaire qui la voit reprendre sans ciller, la tête haute, l’anthem 80 « A cause des garçons ». Une cover dont la puissance et l’insouciance pop sentent le tube de l’été à plein nez et le sourire dans les yeux. Allez, tous en choeur : "A cause des garçons, on met des bas nylons, on se crêpe le chignon, à cause des garçons et du qu’en dira-t-on, on pleure sur tous les tons, à cause des garçons…"

mercredi 13 février 2008

Biographie de George Clooney

George Clooney est né le 6 mai 1961 à Lexington et passe son enfance à Augusta dans le Kentucky. Le monde du spectacle ne lui est pas inconnu puisqu’il est le fils d’un animateur de talk-shows de la télévision américaine, Nick Clooney.Son oncle, José Ferrer est acteur et sa tante chanteuse. Il fait d’ailleurs quelques apparitions sur le plateau des émissions de son père. Voulant suivre les traces de son père, George Clooney entre à l’école de journalisme. Cette tentative se solde par un échec et il décide d’entrer à la Northern University où il se consacre au sport, plus particulièrement au baseball. Mais la sélection est difficile et l’équipe pour laquelle George veut jouer, les Reds de Cincinnati, ne le sélectionnent pas. Il doit donc renoncer à une carrière professionnelle.

George Clooney se tourne alors vers la comédie. Pour lancer sa carrière qui stagne, il décide de partir en Californie, à Hollywood. Il joue, entre autres, dans Return of The Killer Tomatoes! (1988). Ses débuts sont sans grand succès. Mais ces quelques prestations suffisent à George pour se faire remarquer. Les producteurs de la série E/R font de George Clooney, le célèbre pédiatre Doug Ross. Le succès de la série et par le fait même de George Clooney est incroyable. Par la suite, la nouvelle coqueluche fait des apparitions dans plusieurs séries, telles que, Roseanne, Sunset Beach, Bodies of Evidence. Il fait également une apparition dans la célèbre série Friends. Clooney obtient le premier rôle du film de Robert Rodriguez, From Dusk Till Dawn (1996) aux côtés de Quentin Tarantino qui signe également le scénario du film. L’année suivante, il enfile le costume de Bruce Wayne, alias Batman, dans Batman & Robin, film réalisé par Joel Schumacher. Ce premier film à gros budget le place maintenant dans la classe des acteurs les plus prisés d’Hollywood.

Par la suite, il joue aux côtés de vedettes de renom. Toujours en 1997, George Clooney joue le Colonel Thomas Devoe aux côtés de Nicole Kidman dans The Peacemaker. Mais c’est sans contredit dans le film de Steven Soderbergh, Out of Sight (1998), que George Clooney fait la preuve de son réel talent. Dans ce film qui met aussi en vedette Jennifer Lopez, Clooney excelle dans son rôle du voleur en cavale. Les preuves sur le talent d’acteur de George Clooney ne sont plus à faire. Au cours des années suivantes, il aligne les succès The Thin Red Line, de Terrence Malick et Three Kings (1999) aux côtés de son ami Mark Wahlberg. Puis on retrouve Clooney dans The Perfect Storm (2000), une fois de plus avec son acolyte Wahlberg. Le film rapporte près de 185 millions de dollars.

En 2001, l’acteur retrouve Soderbergh et partage l’affiche d’Ocean’s Eleven avec Brad Pitt et Julia Roberts. Le film fait sauter la banque… Il a rapporté à ce jour, plus de 444 millions de dollars dans le monde. C’est en 2002, que Clooney réalise son premier long métrage, Confessions of a Dangerous Mind. Ce premier essai est bien accueilli. En 2004, George Clooney retravaille comme producteur et acteur dans la suite d’Ocean’s Eleven, Ocean’s Twelve. Plutôt difficile le métier d’acteur ! Dernièrement, le comédien a subi une opération à la colonne vertébrale pour le soulager de maux de dos. La vedette de 43 ans s’est blessée lors d’une scène de combat pour le film Syriana. Il y joue aux côtés de Matt Damon.

Pas de bébé pour Fergie

Il semble que les récentes nouvelles ne soient pas fondées. On racontait depuis certains temps que la chanteuse attendrait le passage de la cigogne. Le tout a été démenti mardi alors que la mère de Fergie était de passage à une émission de radio. Pour appuyer ses dires, Terri Ferguson a mentionné le fait que Fergie était tout ce qu’il y avait de plus mince lors du gala des Grammy dimanche soir. Lorsque le magazine « People » a voulu en savoir plus, la porte-parole de la chanteuse est allée dans le même sens que Terri. La rumeur était donc complètement fausse. Pas de bébé pour l’instant! Les dernières nouvelles mentionnent que la belle aurait accepté l’offre de son petit ami. Le magazine « People » a appris de la bouche du porte-parole de la chanteuse qu’elle est maintenant fiancée. Fergie et Josh Duhamel sont en couple depuis trois ans maintenant et cela semble partie pour durer. Après avoir officialisé le tout, Fergie a rapidement pris le téléphone pour partager la nouvelle avec ses amis. Elle leur a mentionné ne pas encore savoir quel type de mariage elle veut, mais qu’elle est la fille la plus heureuse sur terre. On leur souhaite beaucoup de bonheur

vendredi 8 février 2008

PAMELA ANDERSON AU CRAZY HORSE

Vous ne savez pas encore quoi faire pour la soirée de la Saint Valentin ? Ne cherchez plus, nous avons trouvé pour vous : rendez-vous au Crazy Horse pour admirer Pamela Anderson ! La star "offrira" (façon de parler) quatre prestations exceptionnelles les 13 et 14 février au célèbre cabaret parisien, qui se veut le "le temple du nu féminin". Elle sera mise en scène dans un show spécial s'appuyant sur la mythique chanson de Serge Gainsbourg, Harley Davidson. Pamela Anderson n'est pas la première célébrité à se produire au Crazy Horse. Avant elle, on a déjà pu admirer (façon de parler encore) Dita Von Teese et Arielle Dombasle. A qui le tour ? La star américaine Pamela Anderson accompagnera la célèbre troupe du Crazy Horse à Paris, pour quatre représentations exceptionnelles, les 13 et 14 février prochain. Elle se produira dans un numéro crée totalement par le Crazy Horse, en hommage à Brigitte Bardot. Pamela sur une Harley Davidson procèdera à un strip-tease sur la chanson écrite par Serge Gainsbourg "Je n'ai besoin de personne en Harley Davidson". Depuis un an l'établissement accueille régulièrement des stars, comme Arielle Dombasle et Dita von Teese. La Saint Valentin sera sous le signe du glamour !