Cet après-midi, Paris Hilton faisait acte de présence à la boutique Browns de Montréal, rue Ste-Catherine, dans le but de publiciser la sortie de sa nouvelle collection de chaussures. On connaît tous cette nouvelle : mais que s'est-il passé exactement lors de son passage?
Ste-Catherine attire la foule!
Folie furieuse! La rue Ste-Catherine près de la boutique Browns faisait «salle comble» (et ce sans compter les jeunes femmes juchées sur les épaules de courtois jeunes hommes). Tel qu'annoncé dans les médias la semaine dernière, la police de Montréal assurait la sécurité dans les rues. Comme je ne faisais pas partie des «quelques entrevues (que Paris accordera à la presse)», j'ai eu un élan de zèle en me disant que, peut-être, je pourrais obtenir accès à l'intérieur de la boutique. Refus total de la part des gardes de sécurité. Appel à la boutique Browns, j'expose mon dilemme (obtenir un accès «média» au lieu) : une jeune dame m'explique gentiment que toutes les passes média ont été approuvées directement par l'équipe personnelle de Paris Hilton. Hmmmmm! Ai-je un contact dans «l'équipe personnelle de Paris Hilton?» Mon chien est mort.
Les fans de Paris Hilton?
Je me faufile avec persévérance près d'une fenêtre : à l'intérieur, on peut deviner Paris Hilton tout à l'arrière sur une mezzanine accordant ses «quelques entrevues». Patience. Patience. Patience. Status quo. Mais qu'importe, les fans sont souriants, bavards et obligeants: une des chanceuses élues (Paris signait des autographes aux 200 premières personnes qui lui auront acheté une paire d'escarpins.) m'offre de me faire parvenir par courriel une photo de Paris. J'accepte! À suivre… Certaines personnes étaient sur les lieux depuis cinq heures ce matin. D'autres hurlaient de manière hystérique. Et plusieurs, en passant devant la foule, demandait ce qui se passait. Je vous épargne les commentaires de certains, qui selon toute évidence, ne font pas partie des gens voués au culte de la célébrité… Plusieurs fans avaient emmené avec eux des souvenirs et marchandises Paris Hilton : photos, lunettes, magazines et même…plusieurs petits chiens qui auraient facilement pu se faire passer pour le Tinkerbell de l'héritière.
Paris de nouveau dans le pétrin avec la police?
Paris est vraisemblablement l'heureuse propriétaire de 17 chiens. Selon TMZ.com (15 février 2008), le Los Angeles Department of Animal Services aurait visité Paris dans sa demeure pour investiguer une plainte concernant ses multiples chiens. Mais rendu sur les lieux, la police aurait trouvé une maison en pleine rénovation et que personne, incluant des animaux, ne vivait sur les lieux. (Clarification - en Californie, on ne peut posséder plus de 3 chiens par adresse.) simple «affaires de chaussures»? Pour ceux qui pensent que la présence de la blonde à Montréal n'est que pur business, détrompez-vous. Ce serait lors d'une rencontre fortuite, dans un club de Las Vegas, entre l'héritière et la fille du président de la compagnie Pajar Footwear, que l'idée de «faire affaires» aurait éclot. C'est le lendemain que l'entente de distribution canadienne a été signée. «Dumb blond», Paris Hilton?
Ste-Catherine attire la foule!
Folie furieuse! La rue Ste-Catherine près de la boutique Browns faisait «salle comble» (et ce sans compter les jeunes femmes juchées sur les épaules de courtois jeunes hommes). Tel qu'annoncé dans les médias la semaine dernière, la police de Montréal assurait la sécurité dans les rues. Comme je ne faisais pas partie des «quelques entrevues (que Paris accordera à la presse)», j'ai eu un élan de zèle en me disant que, peut-être, je pourrais obtenir accès à l'intérieur de la boutique. Refus total de la part des gardes de sécurité. Appel à la boutique Browns, j'expose mon dilemme (obtenir un accès «média» au lieu) : une jeune dame m'explique gentiment que toutes les passes média ont été approuvées directement par l'équipe personnelle de Paris Hilton. Hmmmmm! Ai-je un contact dans «l'équipe personnelle de Paris Hilton?» Mon chien est mort.
Les fans de Paris Hilton?
Je me faufile avec persévérance près d'une fenêtre : à l'intérieur, on peut deviner Paris Hilton tout à l'arrière sur une mezzanine accordant ses «quelques entrevues». Patience. Patience. Patience. Status quo. Mais qu'importe, les fans sont souriants, bavards et obligeants: une des chanceuses élues (Paris signait des autographes aux 200 premières personnes qui lui auront acheté une paire d'escarpins.) m'offre de me faire parvenir par courriel une photo de Paris. J'accepte! À suivre… Certaines personnes étaient sur les lieux depuis cinq heures ce matin. D'autres hurlaient de manière hystérique. Et plusieurs, en passant devant la foule, demandait ce qui se passait. Je vous épargne les commentaires de certains, qui selon toute évidence, ne font pas partie des gens voués au culte de la célébrité… Plusieurs fans avaient emmené avec eux des souvenirs et marchandises Paris Hilton : photos, lunettes, magazines et même…plusieurs petits chiens qui auraient facilement pu se faire passer pour le Tinkerbell de l'héritière.
Paris de nouveau dans le pétrin avec la police?
Paris est vraisemblablement l'heureuse propriétaire de 17 chiens. Selon TMZ.com (15 février 2008), le Los Angeles Department of Animal Services aurait visité Paris dans sa demeure pour investiguer une plainte concernant ses multiples chiens. Mais rendu sur les lieux, la police aurait trouvé une maison en pleine rénovation et que personne, incluant des animaux, ne vivait sur les lieux. (Clarification - en Californie, on ne peut posséder plus de 3 chiens par adresse.) simple «affaires de chaussures»? Pour ceux qui pensent que la présence de la blonde à Montréal n'est que pur business, détrompez-vous. Ce serait lors d'une rencontre fortuite, dans un club de Las Vegas, entre l'héritière et la fille du président de la compagnie Pajar Footwear, que l'idée de «faire affaires» aurait éclot. C'est le lendemain que l'entente de distribution canadienne a été signée. «Dumb blond», Paris Hilton?
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