Discret ces derniers temps, directeur d'un théâtre, fou des planches - il dit ne pouvoir s'en passer -, Kevin Spacey ferait partie de l'odyssée de l'espace concoctée par Duncan Jones. En clair, le réalisateur - et fils de David Bowie - aimerait l'avoir à son bord pour mener son expédition, intitulée Moon. L'acteur n'aurait pas le rôle principal - celui-ci revenant à Sam Rockwell -, mais il prêterait sa voix et prendrait la forme d'une sorte de robot humanisé. L'espace d'un film, il ne serait ainsi plus totalement lui-même, mais il le resterait quand même un peu. Quelqu'un a levé la main pour de plus amples explications ?
Branché sur le mode thriller, carburant à la science-fiction et boosté par les fusées de l'aventure, Moon relate le séjour d'un homme - incarné par Sam Rockwell, donc - qui pose le pied sur la planète satellite. Il y reste pendant trois ans (!), et il y accomplit ses missions sans sourciller. Mais alors que l'opération touche à sa fin, voilà que tout se détraque. Deux semaines avant de redescendre sur Terre, il se met à entendre des sons étrangers, à sentir de drôles de choses, il n'est plus tout à fait dans son assiette. Du cousu main pour ce givré de Rockwell, déjà complètement barré dans Confessions d'un homme dangereux, inquiétant dans La Ligne verte, parfait dans L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford.Là, se croyant seul, livré à ses propres fantasmes, il va du jour au lendemain devoir cohabiter avec des individus sur lesquels il n'a aucune emprise. Des envahisseurs venus d'ailleurs, au rang desquels se trouvent Kevin Spacey. On en frémit déjà.
Branché sur le mode thriller, carburant à la science-fiction et boosté par les fusées de l'aventure, Moon relate le séjour d'un homme - incarné par Sam Rockwell, donc - qui pose le pied sur la planète satellite. Il y reste pendant trois ans (!), et il y accomplit ses missions sans sourciller. Mais alors que l'opération touche à sa fin, voilà que tout se détraque. Deux semaines avant de redescendre sur Terre, il se met à entendre des sons étrangers, à sentir de drôles de choses, il n'est plus tout à fait dans son assiette. Du cousu main pour ce givré de Rockwell, déjà complètement barré dans Confessions d'un homme dangereux, inquiétant dans La Ligne verte, parfait dans L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford.Là, se croyant seul, livré à ses propres fantasmes, il va du jour au lendemain devoir cohabiter avec des individus sur lesquels il n'a aucune emprise. Des envahisseurs venus d'ailleurs, au rang desquels se trouvent Kevin Spacey. On en frémit déjà.
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