Si l'on se fie aux tabloïds, Emma Rotherham, 42 ans, fait partie des nombreuses maîtresses de Tiger Woods. Cette Montréalaise, qui vit près du golfeur en Floride, pourrait maintenant se trouver aux États-Unis de manière illégale.
Les tabloïds ont baptisé Rotherham la «maîtresse numéro 19» de Woods. Élevée à Montréal, cette femme pourrait se trouver illégalement aux États-Unis car elle a déjà été déportée de ce pays, ont dit des sources au journal Province de Vancouver.
Elle détient des passeports canadien et britannique, de préciser certains membres de sa famille. Son époux canadien (et père de ses enfants) travaille pour une agence de publicité à Moscou. Le couple serait séparé mais pas divorcé.
Rotherham a une fille de 25 ans, qui oeuvre maintenant comme maquilleuse à Montréal après avoir gradué d'une école de cinéma de Vancouver. Elle est aussi mère d'une adolescente d'environ 16 ans qui vit avec elle à Celebration, en Floride, près de la résidence d'Orlando de Woods.
La femme pourrait avoir fréquenté l'école secondaire de Beaconsfield. Le Province n'a toutefois pu confirmer l'information, ce qui lui aurait permis de déterminer si elle a effectivement passé sa jeunesse à Montréal comme le prétendent les sources.
La belle-soeur de Rotherham, qui a préféré garder l'anonymat, a dit qu'elle avait entendu certaines rumeurs à propos Woods et celle-ci. «Ensuite, est venu le choc», a-t-elle ajouté.
«Je m'inquiète pour ses enfants. Elles le prennent mal (…). Je suis en contact avec ses filles. Elles sont en colère et tristes», dit-elle.
Cette semaine, on a appris que Rotherham aurait reçu 500 000$ pour garder le silence au sujet de sa liaison avec Woods. Les médias ont rapporté que la dame avait inventé une histoire selon laquelle elle prenait des leçons de golf pour continuer son aventure avec l'athlète.
À sa famille et à ses amis, elle disait prendre des cours auprès d'un certain Jose alors qu'elle se rendait au bureau de Woods, à Windermere, pour y avoir des relations sexuelles avec lui, selon le journal britannique Daily Mail.
D'après ce quotidien, Rotherham aurait piqué une crise lorsque son aventure est devenue publique la semaine dernière. Elle craint maintenant que le gouvernement américain lui fasse payer de l'impôt sur l'argent qu'elle a reçu de Woods.
Le tabloïd News of the World fait quant à lui référence à cette maîtresse comme étant «Britannique» et non Canadienne. Elle aurait rencontré le golfeur dans un club d'Orlando.
Les tabloïds ont baptisé Rotherham la «maîtresse numéro 19» de Woods. Élevée à Montréal, cette femme pourrait se trouver illégalement aux États-Unis car elle a déjà été déportée de ce pays, ont dit des sources au journal Province de Vancouver.
Elle détient des passeports canadien et britannique, de préciser certains membres de sa famille. Son époux canadien (et père de ses enfants) travaille pour une agence de publicité à Moscou. Le couple serait séparé mais pas divorcé.
Rotherham a une fille de 25 ans, qui oeuvre maintenant comme maquilleuse à Montréal après avoir gradué d'une école de cinéma de Vancouver. Elle est aussi mère d'une adolescente d'environ 16 ans qui vit avec elle à Celebration, en Floride, près de la résidence d'Orlando de Woods.
La femme pourrait avoir fréquenté l'école secondaire de Beaconsfield. Le Province n'a toutefois pu confirmer l'information, ce qui lui aurait permis de déterminer si elle a effectivement passé sa jeunesse à Montréal comme le prétendent les sources.
La belle-soeur de Rotherham, qui a préféré garder l'anonymat, a dit qu'elle avait entendu certaines rumeurs à propos Woods et celle-ci. «Ensuite, est venu le choc», a-t-elle ajouté.
«Je m'inquiète pour ses enfants. Elles le prennent mal (…). Je suis en contact avec ses filles. Elles sont en colère et tristes», dit-elle.
Cette semaine, on a appris que Rotherham aurait reçu 500 000$ pour garder le silence au sujet de sa liaison avec Woods. Les médias ont rapporté que la dame avait inventé une histoire selon laquelle elle prenait des leçons de golf pour continuer son aventure avec l'athlète.
À sa famille et à ses amis, elle disait prendre des cours auprès d'un certain Jose alors qu'elle se rendait au bureau de Woods, à Windermere, pour y avoir des relations sexuelles avec lui, selon le journal britannique Daily Mail.
D'après ce quotidien, Rotherham aurait piqué une crise lorsque son aventure est devenue publique la semaine dernière. Elle craint maintenant que le gouvernement américain lui fasse payer de l'impôt sur l'argent qu'elle a reçu de Woods.
Le tabloïd News of the World fait quant à lui référence à cette maîtresse comme étant «Britannique» et non Canadienne. Elle aurait rencontré le golfeur dans un club d'Orlando.
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