Vendredi, les fans d'Iron Maiden venus sur les Plaines d'Abraham pour entendre les nombreux vieux classiques du groupe ont dû rester sur leur appétit. La formation en a bien livré quelques-uns mais a préféré mettre l'accent sur son matériel des années 2000.
Nous avions vu Iron Maiden pour la dernière fois au Festival Heavy MTL en 2008. Le groupe se produisait alors à Montréal dans le cadre de la tournée «Somewhere Back in Time». Lors de cette série de spectacles, il interprétait du matériel des années 80. Le décor s'inspirait notamment de la tournée «Powerslave» (1984-85), au look égyptien.
Sur les Plaines, ce vendredi, au Festival d'été de Québec, il a préféré revisiter un passé plus récent et même donner une note futuriste-spatiale à son show. Avant l'entrée en scène des membres, on a eu droit à des projections cosmiques et de galaxies sur écrans géants. Celles-ci auraient été hallucinantes au début des années 80. En cette ère d'«Avatar» et autres prouesses cinématographiques, on en a vu d'autres. Sur la scène, les décors inspirés de la science-fiction avaient également un air de pacotille.
Le spectacle s'est amorcé avec «The Wicker Man» de l'album «Brave New World» (2000). Du même opus, la bande de Bruce Dickinson enchaînera ensuite avec «Ghost of the Navigator». Durant la soirée, on entendra également la chanson-titre de cet effort et «Blood Brothers», livrée en hommage au regretté Ronnie James Dio.
Du nouvel album à paraître le 17 août, «The Final Frontier», on n'entendra que l'extrait «El Dorado». Lors du concert, Dickinson rappellera au public de se procurer ce disque afin de le faire grimper en première place du palmarès canadien.
De «Dance of Death» (2003), on aura droit à la pièce-titre, «Wildest Dreams» et «No More Lies»
Le chanteur s'est exprimé en majorité en français. L'homme a du charisme. Il a encore de la voix et une tonne d'énergie à revendre. Celui qui fêtera ses 52 ans le mois prochain pourrait donner quelques leçons de rock à des artistes bien plus jeunes! Ses acolytes sont d'ailleurs tous de vieux pros et livrent la marchandise musicale.
«Il y a 80 000 personnes pour Iron Maiden», a lancé Dickinson! La foule était certes imposante. Au moment d'écrire ces lignes, l'organisation du FEQ ne nous avait pas encore confirmé le nombre exact de spectateurs.
Les nostalgiques ont dû patienter jusqu'à la fin pour entendre des classiques. Il y a tout d'abord eu «Fear of the Dark» (1992)... Malgré la pluie, on voyait la flamme de nombreux briquets briller lorsque les premières notes du morceau ont résonné.
Cette pièce fut ensuite suivie de «Iron Maiden», la chanson-titre du premier album de la formation britannique. Paul Di'Anno chantait sur cette galette. Des membres de cette époque, seuls Dave Murray et Steve Harris font toujours partie du groupe. Sur la scène des Plaines, c'est lors de ce morceau que se pointera la mascotte Eddie, qui prend maintenant des allures de créature extraterrestre.
En rappel, ce sera enfin le temps des bonbons: «Number of the Beast», «Hallowed Be Thy Name» et «Running Free», au plus grand plaisir des spectateurs!
Dream Theater se produisait en première partie. Avec son mélange de métal, de progressif et parfois même d'influences orientales, la formation a livré une prestation solide, bien appréciée du public.
Nous avions vu Iron Maiden pour la dernière fois au Festival Heavy MTL en 2008. Le groupe se produisait alors à Montréal dans le cadre de la tournée «Somewhere Back in Time». Lors de cette série de spectacles, il interprétait du matériel des années 80. Le décor s'inspirait notamment de la tournée «Powerslave» (1984-85), au look égyptien.
Sur les Plaines, ce vendredi, au Festival d'été de Québec, il a préféré revisiter un passé plus récent et même donner une note futuriste-spatiale à son show. Avant l'entrée en scène des membres, on a eu droit à des projections cosmiques et de galaxies sur écrans géants. Celles-ci auraient été hallucinantes au début des années 80. En cette ère d'«Avatar» et autres prouesses cinématographiques, on en a vu d'autres. Sur la scène, les décors inspirés de la science-fiction avaient également un air de pacotille.
Le spectacle s'est amorcé avec «The Wicker Man» de l'album «Brave New World» (2000). Du même opus, la bande de Bruce Dickinson enchaînera ensuite avec «Ghost of the Navigator». Durant la soirée, on entendra également la chanson-titre de cet effort et «Blood Brothers», livrée en hommage au regretté Ronnie James Dio.
Du nouvel album à paraître le 17 août, «The Final Frontier», on n'entendra que l'extrait «El Dorado». Lors du concert, Dickinson rappellera au public de se procurer ce disque afin de le faire grimper en première place du palmarès canadien.
De «Dance of Death» (2003), on aura droit à la pièce-titre, «Wildest Dreams» et «No More Lies»
Le chanteur s'est exprimé en majorité en français. L'homme a du charisme. Il a encore de la voix et une tonne d'énergie à revendre. Celui qui fêtera ses 52 ans le mois prochain pourrait donner quelques leçons de rock à des artistes bien plus jeunes! Ses acolytes sont d'ailleurs tous de vieux pros et livrent la marchandise musicale.
«Il y a 80 000 personnes pour Iron Maiden», a lancé Dickinson! La foule était certes imposante. Au moment d'écrire ces lignes, l'organisation du FEQ ne nous avait pas encore confirmé le nombre exact de spectateurs.
Les nostalgiques ont dû patienter jusqu'à la fin pour entendre des classiques. Il y a tout d'abord eu «Fear of the Dark» (1992)... Malgré la pluie, on voyait la flamme de nombreux briquets briller lorsque les premières notes du morceau ont résonné.
Cette pièce fut ensuite suivie de «Iron Maiden», la chanson-titre du premier album de la formation britannique. Paul Di'Anno chantait sur cette galette. Des membres de cette époque, seuls Dave Murray et Steve Harris font toujours partie du groupe. Sur la scène des Plaines, c'est lors de ce morceau que se pointera la mascotte Eddie, qui prend maintenant des allures de créature extraterrestre.
En rappel, ce sera enfin le temps des bonbons: «Number of the Beast», «Hallowed Be Thy Name» et «Running Free», au plus grand plaisir des spectateurs!
Dream Theater se produisait en première partie. Avec son mélange de métal, de progressif et parfois même d'influences orientales, la formation a livré une prestation solide, bien appréciée du public.
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