Carmen Electra a été mannequin, actrice, chanteuse, danseuse et «sex-symbol». Étrange expérience professionnelle que celle de «sex-symbol» à mettre sur son curriculum vitae. Pourtant, elle demeure la plus importante. C’est grâce à son corps et sa plantureuse beauté qu’elle sait fait connaître. Autrement dit, elle a pu devenir mannequin à cause de son corps de feu, chanteuse grâce à Prince et nous connaissons son goût pour «le séduisant», actrice pour son look – la caméra l’aime (rend bien sur écran sa beauté aguichante), et danseuse dans les «Pussycat Dolls» pour les mêmes raisons. Les femmes qui composent le groupe ont des corps de déesse, une allure d’enfer. Elles sont aguichantes, érotiques et suggestives. Elle s’est probablement fait dire ou a fortement ressenti qu’elle n’était pas à sa place par des actrices, chanteuses ou danseuses totalement consacrées à leur métier. Plus profondément, elle souffre de déplaisir, de ne rien RESSENTIR vraiment si ce n’est un grand vide intérieur. Sa blessure karmique vient du fait qu’il y a en elle une impossibilité de se satisfaire des petites choses ou joies de la vie, de se sentir satisfaite, comblée, chanceuse, privilégiée. Encore une fois, un grand vide l’habite et elle en souffre beaucoup. La puissante lumière que dégage son énergie de sex-symbol éteint la femme en elle d’une certaine manière, l’aveugle même parfois et l’éloigne du plaisir véritable. Elle est entrée dans une période d’isolement volontaire pour se mettre à l’écoute de ses richesses intérieures. Sa quête spirituelle a déjà commencé et l’amènera à donner la parole à la FEMME en elle.
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