La première du spectacle de Grégory Charles au Théâtre St-Denis a certainement gagné le public puisque notre héros nous transmet sa passion pour la musique avec doigté. Dès le début, nous sommes interpellé avec émotion lorsque qu'on aperçoit un enfant représentant Charles lorsqu'il était petit avec un afro et qui joue du piano sous les airs d'une chanson de Robert Charlebois « Je suis un petit gars bien ordinaire». Quand Charles entre en scène, nous sentons un peu sa fébrilité avec la vitesse à laquelle il nous parle mais rapidement, l'«Entertainer» est comme un poisson dans l'eau et réussi à nous contaminer avec son énergie et son talent. Il fait une rétrospective de la musique populaire et des grands de ce monde en passant par Paganini, Liszt, Bill Crosby, Presley, Elton John, Nirvana, Alys Robi et bien d'autres. Il nous ramène autant dans le passé que dans le présent avec son talent de chanteur, d'acteur, de danseur et surtout de grand musicien.
Tout au long du spectacle, il enchaîne avec vitalité, brio et énergie et ce, avec beaucoup d'intensité. Il dirige à mains de maître ses musicien et choristes à travers des improvisations qui en feraient frémir plus d'un. Un des moments émouvant du spectacle lui vaut un «standing ovation» avant la fin de la première partie quand il rend hommage à sa mère atteinte de la maladie d'Alzheimer et qui est à la source de son immense talent. Il deviendra très émotif avec le public en versant quelques larmes. Il bâtit son spectacle sur deux thèmes principaux des superpouvoirs de la musique soient le souvenir et l'époque. Il nous explique que sa façon de communiquer avec celle qui perd la mémoire et qui est sa muse se fait maintenant par l'entremise de la musique et que celle-ci ne s'oublie pas puisqu'elle rejoint la profondeur de l'âme malgré la maladie. Il s'inspire d'Obama pour nous interpellé sur la place des noirs dans notre société et il nous fait bien prendre conscience que nous sommes dans une grande évolution à ce sujet. Cependant, il communique à débit accéléré et parle un peu trop entre les enchaînements. Toutefois, connaissant son énergie et sa grande force de communication, il réussit à nous interpellé à sa manière naturelle.
En deuxième partie, il invite sur la scène, un couple marié depuis 50 ans et réussit à interpréter des chansons qui étaient populaires à leur époque. Son improvisation est déstabilisante. Le public plus âgé ou plus jeune participe activement au succès de son défi qui consiste à évoquer 25 chansons en 25 minutes. Charles a relevé son défi avec brio avec ce nouveau spectacle qui nous énergise et qui convient à toutes les générations. La musique est le lien entre le passé et le présent. De ce fait, peu importe la couleur, la religion ou la provenance, elle unie les peuples et les générations. Charles nous rassemble et nous donne envie d'en redemander encore et encore.
Tout au long du spectacle, il enchaîne avec vitalité, brio et énergie et ce, avec beaucoup d'intensité. Il dirige à mains de maître ses musicien et choristes à travers des improvisations qui en feraient frémir plus d'un. Un des moments émouvant du spectacle lui vaut un «standing ovation» avant la fin de la première partie quand il rend hommage à sa mère atteinte de la maladie d'Alzheimer et qui est à la source de son immense talent. Il deviendra très émotif avec le public en versant quelques larmes. Il bâtit son spectacle sur deux thèmes principaux des superpouvoirs de la musique soient le souvenir et l'époque. Il nous explique que sa façon de communiquer avec celle qui perd la mémoire et qui est sa muse se fait maintenant par l'entremise de la musique et que celle-ci ne s'oublie pas puisqu'elle rejoint la profondeur de l'âme malgré la maladie. Il s'inspire d'Obama pour nous interpellé sur la place des noirs dans notre société et il nous fait bien prendre conscience que nous sommes dans une grande évolution à ce sujet. Cependant, il communique à débit accéléré et parle un peu trop entre les enchaînements. Toutefois, connaissant son énergie et sa grande force de communication, il réussit à nous interpellé à sa manière naturelle.
En deuxième partie, il invite sur la scène, un couple marié depuis 50 ans et réussit à interpréter des chansons qui étaient populaires à leur époque. Son improvisation est déstabilisante. Le public plus âgé ou plus jeune participe activement au succès de son défi qui consiste à évoquer 25 chansons en 25 minutes. Charles a relevé son défi avec brio avec ce nouveau spectacle qui nous énergise et qui convient à toutes les générations. La musique est le lien entre le passé et le présent. De ce fait, peu importe la couleur, la religion ou la provenance, elle unie les peuples et les générations. Charles nous rassemble et nous donne envie d'en redemander encore et encore.
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