Dans une dizaine d'années, Lady Gaga aimerait bien être mère. Pour le moment, sa carrière prend cependant toute la place. Elle ne délaisserait jamais son métier pour un homme. «Dans 8 à 10 ans, je veux avoir des bébés pour que mon père les tienne. Je veux lui faire des petits-enfants. Je veux avoir un mari qui va m'aimer et m'appuyer, un peu comme tout le monde», dit Lady Gaga en entrevue à l'édition américaine du magazine Elle (numéro de janvier). «En ce moment, je ne délaisserais pas ma carrière pour un homme et je ne suivrais jamais un mec», ajoute-t-elle toutefois.
Avant de devenir une star de la pop, la chanteuse a été serveuse. Elle dit qu'elle excellait à son métier. «On me donnait de gros pourboires. Je portais toujours des talons hauts. Je racontais des histoires aux clients. Pour ceux qui se rencontraient pour un rendez-vous doux, j'essayais de garder l'atmosphère romantique», se souvient-elle. Quant à son sens de l'esthétique, Gaga affirme qu'elle ne souhaite pas être cette vedette pop blonde typique. Elle veut créer son propre personnage même si elle doit parfois se battre pour imposer sa vision: «Les pochettes de mes albums ne sont pas sexuelles du tout, ce qui constituait un problème pour mon étiquette de disques. Je me suis battue pendant des mois et je pleurais lors de réunions. Ils ne pensaient pas que les images étaient assez commerciales. La dernière chose que les jeunes femmes ont besoin, c'est d'un autre cliché d'une pop star sexy étendue dans le sable, toute huilée, en train de se toucher!»
Avant de devenir une star de la pop, la chanteuse a été serveuse. Elle dit qu'elle excellait à son métier. «On me donnait de gros pourboires. Je portais toujours des talons hauts. Je racontais des histoires aux clients. Pour ceux qui se rencontraient pour un rendez-vous doux, j'essayais de garder l'atmosphère romantique», se souvient-elle. Quant à son sens de l'esthétique, Gaga affirme qu'elle ne souhaite pas être cette vedette pop blonde typique. Elle veut créer son propre personnage même si elle doit parfois se battre pour imposer sa vision: «Les pochettes de mes albums ne sont pas sexuelles du tout, ce qui constituait un problème pour mon étiquette de disques. Je me suis battue pendant des mois et je pleurais lors de réunions. Ils ne pensaient pas que les images étaient assez commerciales. La dernière chose que les jeunes femmes ont besoin, c'est d'un autre cliché d'une pop star sexy étendue dans le sable, toute huilée, en train de se toucher!»
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